LE DOMAINE DE PEYREGUILHOT
UN DOMAINE DE CARACTERE AU COEUR DU LOT-ET-GARONNE
UN DOMAINE DE CARACTERE

UN DOMAINE DE CARACTERE
UNE HISTOIRE DE FAMILLES
DE GENERATION EN GENERATION
TRADITIONS D'HOSPITALITE
Peyreguilhot est un domaine anciennement constitué d’un logis et de ses dépendances comprenant entre autres un pigeonnier, une grange ou encore un chai, le tout implanté sur le rebord sud du coteau.
Le Château est construit, tel qu’on le connaît de nos jours, en 1856 par Gabriel Chopin de la Bruyère, figure politique du Lot-et-Garonne. Jusqu’aux années 1900, le domaine rayonne grâce aux activités royalistes de Cornelis Henry Wilhem de Witt, gendre de la famille de la Bruyère. En 1906, l’architecte Édouard Payen place deux pavillons légèrement en avancée à chaque extrémité de la demeure.
L’édifice se compose d’un corps central de plan carré de trois travées en façade, sur cave semi-enterrée avec rez-de-chaussée surélevé et deux étages carrés couronnés d’une balustrade. Les deux ailes latérales faisant saillie au sud, de trois travées étroites pour cinq en profondeur, ont un rez-de-chaussée surélevé et une toiture à croupes brisées couverte d’ardoises abritant un étage de comble. L’enduit des murs forme un faux-appareil. Un perron précède l’entrée sur l’élévation sud. Des reliefs vraisemblablement en terre cuite inspirée de Clodion, symbolisant le cycle des saisons, figurent sur les plein-de-travées du corps de logis central.
Cette disposition et la présence de dépendances agricoles sont typiques de l’architecture noble dans le Lot-et-Garonne aux XVIIIe et XIXe siècles.
Par la suite, les gazettes mondaines se font l’écho des réceptions du domaine de Peyreguilhot, tout en soulignant l’élégance de la maîtresse de maison : Madame de la Bruyère. L’architecture actuelle reflète d’ailleurs l’influence de ces années fastes avec au rez-de-chaussée une succession de deux salons, une salle à manger, un fumoir/billard, et un nombre de chambres impressionnant à l’étage.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, la tradition d’accueil de Peyreguilhot se perpétue sous l’égide de Madame de la Bruyère, présidente de la Croix Rouge régionale, avec l’accueil de réfugiés notamment Alsaciens.
En 1968, la famille Crestian rachète la propriété et y ouvre un centre de vacances pour y accueillir des citadins issus des classes populaires, en vue de leur permettre de passer des vacances au vert. Cette même année, le Domaine accueille son premier mariage. Le bouche à oreille et la demande font par la suite de Peyreguilhot un lieu privilégié pour accueillir divers événements et rassemblements.
Dans les années 1980, la famille Badie hérite de l’endroit et consolide ses diverses activités. Les deux salles de réception sont ainsi créées et la capacité en hébergement augmente de façon significative.
Depuis 2013, Sonia Badie qui représente la quatrième génération, est la première à en faire son véritable métier et à professionnaliser l’activité du Domaine.
Aujourd’hui, l’équipe de Peyreguilhot réunit les traditions d’hospitalité et de réception pour accueillir tout type de publics et d’évènements.

TRADITIONS D'HOSPITALITE
Peyreguilhot est un domaine anciennement constitué d’un logis et de ses dépendances comprenant entre autres un pigeonnier, une grange ou encore un chai, le tout implanté sur le rebord sud du coteau.
Le Château est construit, tel qu’on le connaît de nos jours, en 1856 par Gabriel Chopin de la Bruyère, figure politique du Lot-et-Garonne. Jusqu’aux années 1900, le domaine rayonne grâce aux activités royalistes de Cornelis Henry Wilhem de Witt, gendre de la famille de la Bruyère. En 1906, l’architecte Édouard Payen place deux pavillons légèrement en avancée à chaque extrémité de la demeure.
L’édifice se compose d’un corps central de plan carré de trois travées en façade, sur cave semi-enterrée avec rez-de-chaussée surélevé et deux étages carrés couronnés d’une balustrade. Les deux ailes latérales faisant saillie au sud, de trois travées étroites pour cinq en profondeur, ont un rez-de-chaussée surélevé et une toiture à croupes brisées couverte d’ardoises abritant un étage de comble. L’enduit des murs forme un faux-appareil. Un perron précède l’entrée sur l’élévation sud. Des reliefs vraisemblablement en terre cuite inspirée de Clodion, symbolisant le cycle des saisons, figurent sur les plein-de-travées du corps de logis central.
Cette disposition et la présence de dépendances agricoles sont typiques de l’architecture noble dans le Lot-et-Garonne aux XVIIIe et XIXe siècles.
Par la suite, les gazettes mondaines se font l’écho des réceptions du domaine de Peyreguilhot, tout en soulignant l’élégance de la maîtresse de maison : Madame de la Bruyère. L’architecture actuelle reflète d’ailleurs l’influence de ces années fastes avec au rez-de-chaussée une succession de deux salons, une salle à manger, un fumoir/billard, et un nombre de chambres impressionnant à l’étage.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, la tradition d’accueil de Peyreguilhot se perpétue sous l’égide de Madame de la Bruyère, présidente de la Croix Rouge régionale, avec l’accueil de réfugiés notamment Alsaciens.
En 1968, la famille Crestian rachète la propriété et y ouvre un centre de vacances pour y accueillir des citadins issus des classes populaires, en vue de leur permettre de passer des vacances au vert. Cette même année, le Domaine accueille son premier mariage. Le bouche à oreille et la demande font par la suite de Peyreguilhot un lieu privilégié pour accueillir divers événements et rassemblements.
Dans les années 1980, la famille Badie hérite de l’endroit et consolide ses diverses activités. Les deux salles de réception sont ainsi créées et la capacité en hébergement augmente de façon significative.
Depuis 2013, Sonia Badie qui représente la quatrième génération, est la première à en faire son véritable métier et à professionnaliser l’activité du Domaine.
Aujourd’hui, l’équipe de Peyreguilhot réunit les traditions d’hospitalité et de réception pour accueillir tout type de publics et d’évènements.
NOS VALEURS
AUTHENTICITE. PASSION. CONFIANCE.
TEMOIGNAGES DE NOS MARIES





